Edito
Survie
Le gouvernement français se serait sans doute volontiers passé de cette réunion de la dernière chance, à Genève, pour tenter de conclure le cycle de Doha. D’autant qu’assumant la présidence de l’UE, les ministres français présents n’ont pas toutes les marges de manœuvre pour jouer leur partition puisqu’ils doivent assumer celle de l’ensemble des pays membres.