Tout ou rien dans les domaines viticoles d’application
Tous les vignobles d’appellation n’ont pas recours aux prestataires de services agricoles, mais lorsque c’est le cas, cela se fait dans des proportions importantes. « C’est l’activité pour laquelle la sous-traitance est la plus concentrée sur un faible nombre d’exploitations », résume l’Insee. Ces fermes totalisent 23 % des journées de travail des ETA et des Cuma. Elles achètent également des prestations en comptabilité, gestion, courtage, études, recherche ou publicité. En 2005, ces services non agricoles ont représenté une dépense moyenne par ferme de quelque 5 800 euros.