Un marché physique à l’arrêt qui peine à faire les prix
Sur le marché physique français, les vendeurs de céréales et oléagineux sont frileux à proposer de la marchandise pour le moment. Ceci s’explique, selon Anne-Laure Paumier, responsable marché chez Coop de France, par des stocks restreints en fin de campagne, ainsi que par une moisson française qui traîne. « Les vendeurs attendent de bien cerner les quantités et qualités de grains disponibles, après la moisson 2012, pour prendre de nouveaux engagements sur les marchés », explique-t-elle.