AESA
Catherine Geslain-Laneelle dessine les chantiers de son institution
« Avec le recul de ces cinq dernières années, je crois que l’on peut dire que nous avons prouvé que la séparation de l’évaluation des risques et de la gestion des risques, non seulement cela fonctionne, mais apporte une valeur ajoutée au système de salubrité des aliments ». C’est ce qu’a déclaré devant les parlementaires européens, Catherine Geslain-Lanéelle, directrice exécutive de l’AESA (Autorité européenne de sécurité alimentaire) venue leur présenter l’état des travaux en cours et les chantiers futurs de son institution.
« Depuis la création de l’AESA, nous avons publié plus de 600 avis scientifiques et traité plus de 1600 demandes. De plus en plus, les tâches sont attribuées à l’AESA, une marque de la confiance placée dans la qualité et l’indépendance de nos évaluations des risques ».