Edito
Cocorico !
La filière volaille française va mieux. « Elle est aujourd'hui stabilisée dans sa partie export » . C'est Stéphane Le Foll qui l'a dit à nos confrères du Télégramme, de retour de sa visite chez Doux qui fêtait sa résurrection. Il est vrai que cette entreprise revient de loin. Au bord du dépôt de bilan en 2012, Doux, avec un chiffre d'affaires de 457 millions d'euros en 2014, a renoué avec les bénéfices.