Edito
Dilemme
Chacun guette aux Etats-Unis ou en Chine les signes avant-coureurs de la sortie de crise et les marchés boursiers n’hésitent plus à l’anticiper. Pourtant personne n’est d’accord sur sa date la plus probable. Elle devient même un horizon glissant surtout quand le chiffrage planétaire des crédits toxiques ne cesse d’être révisé à la hausse et quand on mesure l’importance de la récession et des destructions d’emplois à venir, à quoi il faut ajouter pour faire bonne mesure une pincée de fièvre « mexicaine » (ne surtout plus dire « porcine » !).