Doux condamné aux prud’hommes
Le conseil des prud’hommes de Quimper vient de condamner Doux à payer une demi-heure de pause quotidienne (qui n’est plus payée depuis juillet 2004) à ses salariés des usines de Quimper et Châteaulin (Finistère). Dans un premier temps, Doux devra verser un acompte de 2 000 euros aux 237 salariés concernés, soit un total de 474 000 euros. Un arrêt de la Cour de cassation (en septembre) permettra de savoir si la règle des cinq jours de présence dans la semaine, pour pouvoir bénéficier du paiement du temps de pause, est retenue par la juridiction.