On a eu chaud
On est passé à côté du pire, à côté d’un blocage prolongé du pays comme en 1995 mais le climat social français sort durablement dégradé du conflit qui a accompagné le vote de la réforme des retraites. Les dégâts, comme toujours, ne sont guère mesurables, sur le terrain mais, à en croire l’Ania, il s’en fallait de peu que des usines soient mises en chômage technique par manque d’approvisionnement.