Fraude alimentaire : les États membres présentent leurs recommandations
Afin de décourager les pratiques frauduleuses dans la chaîne agroalimentaire, le Conseil des ministres de l’agriculture de l’UE vient d’adopter une série de mesures – non-législatives – mais qui se voudraient plus dissuasives. Parmi celles-ci : la nécessité d’étendre la coopération transfrontalière aux autorités compétentes en matière fiscale, douanière, policière et judiciaire.
À l’issue de leur réunion des 16 et 17 décembre à Bruxelles, les ministres de l’Agriculture de l’UE ont souligné dans leurs conclusions que pour mieux juguler les fraudes alimentaires au niveau européen, il s’avère nécessaire de promouvoir une coopération transfrontalière accrue à tous les niveaux et que cela requiert un engagement politique renouvelé.