Les avancées du plan « Bordeaux demain »
Pour lutter contre les prix bas, l’interprofession impose, dans le cadre du plan « Bordeaux demain », un contrôle de la qualité des lots vendus moins de 800 euros le tonneau et un déclassement des lots en cas de problème de qualité (ils ne peuvent pas revendiquer l’appellation bordeaux). Et si les lots sont vendus à bas prix pour des raisons économiques, elle essaye de les acheter par l’intermédiaire de la structure d’achat de l’interprofession, Mercure, qui en trois mois, a déjà acheté 40 000 hl à 800 euros le tonneau.