Edito
Maudits profils
La Commission de Bruxelles bat en retraite. Sa volonté de mettre de l’ordre dans les allégations-santé qui fleurissent sur les étiquettes des produits alimentaires était pourtant légitime. Non seulement pour protéger le consommateur contre toute tromperie en obligeant les fabricants à prouver au préalable leurs assertions. Mais aussi pour harmoniser les règles d’un pays à l’autre et assurer ainsi une loyale concurrence entre ces mêmes fabricants. Le projet – qui remonte à près de cinq ans !