Piégés
L’industrie alimentaire vit sous la menace de 800 millions d’euros de taxes supplémentaires, selon le président de l’Ania. En réalité elle tendait le dos depuis des années : à la veille du premier PNNS, l’idée d’une taxe sur les produits gras et sucrés n’avait été écartée qu’en échange d’engagements nutritionnels volontaires de quelques grands groupes puis d’accords collectifs dans certaines branches.