UE/Allégations de santé
Plus de la moitié des demandes d'allégations retoquées par l'AESA
« Manque d'information sur la substance sur laquelle l'allégation est fondée, absence de preuves que l'effet allégué soit bénéfique, inexistence d'études sur l'homme de l'effet bénéfique allégué sur la santé ». Ce sont là les principales lacunes épinglées par l'AESA dans sa deuxième série d'avis scientifiques sur les plus de 400 allégations de santé fonctionnelles génériques qu'elle vient d'évaluer.
Une relation de cause à effet n'a pu être établie entre la consommation de Lactobacillus plantarum BFE 1685 et la réduction des micro-organismes potentiellement pathogènes intestinaux ». « La lutéine (1) ne contribue pas au maintien d'une vision normale ». « La gomme de xanthane (2) n'augmente pas la sensation de satiété ».