« Porte ouverte à de nouvelles tromperies »
« Il est inacceptable de constater que, malgré les crises récentes, la Commission s’entête dans des propositions qui ne répondent pas à l’exigence des consommateurs vis-à-vis de la viande qu’ils achètent », a déploré Dominique Langlois, président d’Interbev, dans un communiqué suite aux intentions prêtées à la Commission de renoncer à imposer l'origine des viandes dans l'étiquetage des produits transformés. « Faire marche arrière aujourd’hui est la porte ouverte à de nouvelles tromperies», après le scandale de la viande de cheval.