Export
Pour l’Ania, l’union fait la force
Seulement moins de deux entreprises agroalimentaires sur dix ont franchi le cap de l’international. Absence de capitaux propres, handicap de la taille, manque de réseaux et d’appuis extérieurs représentent les principaux freins que rencontrent les PME pour aller au-delà des frontières françaises. Lors de sa seconde journée export, le 20 novembre 2007, l’Ania a voulu mettre en avant les témoignages de PME qui ont tenté l’aventure hors de France et surtout mettre en exergue l’intérêt de la mise en commun des forces entre entreprises. Le leitmotiv de cette journée «S’unir pour réussir à l’export». Retour sur les différentes formes de soutien, du portage au groupement de PME à l’export (Gepex).
« Trouver des relais de croissance efficaces porteurs de développement et de pérennité est devenu essentiel. Car si certains secteurs sont déjà très performants à l’export(les vins et spiritueux notamment, ndlr) , nous souffrons globalement d’une trop faible présence de nos entreprises à l’étranger. Moins de deux entreprises sur dix ont déjà franchi le pas. Nous devons, et nous pouvons, faire mieux !