Scalpel
Michel Léonard va donc prendre en main les destinées du groupe volailler Doux. Le défi qui s’ouvre devant lui est immense. L’entreprise dispose d’atouts non négligeables mais elle souffre également de faiblesses clairement identifiées, liées pour beaucoup à l’inadaptation de l’ensemble de la filière au nouvel ordre mondial. Cette déconfiture d’un des acteurs majeurs de la branche se doit d’être l’occasion pour tous les acteurs politiques, économiques et syndicaux de prendre les décisions qui s’imposent.