Adour-Garonne et irrigation : vigilance sur trois filières
Dans le bassin Adour-Garonne, la disponibilité en eau est la condition du maintien de trois filières : celle des semences de maïs, des fruits et pruneaux et celle des légumes de plein champ destinés à la transformation. C’est ce que conclut une étude du Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux, sur les conséquences des restrictions pérennes à l’irrigation découlant de la directive cadre sur l’eau. Il faudra donc, au niveau local, s’assurer qu’elles bénéficient de façon prioritaire des volumes suffisants.