Edito
Assurance
La tempête qui vient de ravager le Sud-Ouest doit être vécue comme un drame mais aussi comme un avertissement. À la vue de ce qu’ont vécu les forestiers, les assureurs et producteurs de grandes cultures frémissent : que se serait-il passé si ces vents extrêmes avaient soufflé plus tard, les grandes cultures, le maïs en particulier, étant sur pied ?
Mots-clés