Des freins fiscaux et urbanistiques pour l’agritourisme
Au regard du modèle italien, divers freins pénalisent l’agritourisme en France, soulignent les professionnels. Au niveau de la fiscalité, son traitement est commercial. L’activité peut bénéficier du régime agricole à condition de « n’excéder ni 50 % des recettes agricoles, ni 100 000 € », selon le code général des impôts. Les fermes auberges ont aussi une limite à respecter. Leur taux d’approvisionnement doit atteindre au minimum 51 % de produits issus de l’exploitation support, calculé en valeur marchande sur l’année.
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