Donner envie
Dans un pays où, depuis vingt-quatre mois les chiffres du chômage atteignent des sommets, il est paradoxal de constater que certains métiers ne sont pas pourvus. C'est le cas pour l’agriculture. A qui la faute ? Sans doute les raisons sont multiples. D'abord une dévalorisation endémique à ce pays des métiers manuels au profit des « cols blancs ». Dans les années 70, quitter la ferme pour partir à la ville, pour travailler dans un bureau, était un signe de promotion sociale.