La Charte des bonnes pratiques d’élevage devra intégrer l’environnement
Après la sécurité sanitaire, la traçabilité, l’hygiène ou le bien-être animal, la Charte des bonnes pratiques d’élevage doit se renouveler afin de s’adapter à la nouvelle attente sociétale : la protection de l’environnement. Telle est la conclusion d’un débat réunissant, le 20 octobre, l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture, la FNSEA, les Jeunes agriculteurs, les interprofessions des viandes et du lait, des chercheurs de l’Inra et du CNRS ainsi que des membres de l’Institut de l’élevage.