Le loup : ami ou ennemi de la biodiversité ?
Laissez un territoire sans intervention humaine, et il se recouvre de forêt, faisant disparaître les zones de biodiversité intermédiaire (prairies, lisières...). Partant de ce constat, il peut paraître préférable de maintenir – par exemple en zone de montagne – des espaces ouverts tels que des zones de pâturages. En ce sens, le pastoralisme est facteur de biodiversité. Mais, si le retour d’un prédateur comme le loup – vécu par certains comme une victoire de la biodiversité – déstabilise ce monde de l’élevage, et accentue la déprise agricole, qui sort gagnant ?
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