Les producteurs demandent une mise en avant de l’origine « France »
La commercialisation des légumes est morose depuis plusieurs mois, avec des prix bas à la production, même pour des produits qui ont connu des baisses de récolte, comme le melon, la tomate et le concombre. La demande est faible. « Pourtant le marché est rempli de tomates du Bénélux », rapporte Jean-Pierre Barrau, animateur de la section nationale « tomate » des comités de bassins. À Rungis, « on voit peu de tomates françaises ».