Les réactions
Le 17 janvier, la Confédération paysanne a publié un communiqué cosigné avec des organisations environnementales et des apiculteurs (Unaf), estimant que l’avis du HCB « ne fournit pas de réponses aux questions préalables à la réalisation d’une coexistence durable ».
Pour sa part, l’Association française des biotechnologies végétales (AFBV) a estimé le même jour que la coexistence « ne serait pas praticable » si le seuil de 0,1 % de présence fortuite d’OGM devenait la nouvelle norme pour définir les plantes non OGM.