L’IBMA réclame un plus fort soutien à la recherche
L’IBMA (entreprises du biocontrôle) est revenue à la charge le 29 janvier sur sa demande d’un crédit d’impôt plus avantageux. Mais la mise en œuvre d’un taux majoré pose « quelques difficultés », a répondu la DGAL.
« Incitons les entreprises à investir dans la matière grise sur notre territoire », a lancé le président Antoine Meyer, au colloque d’IBMA France. Sa demande concerne le crédit d’impôt recherche (CIR) : il s’agit d’attribuer au biocontrôle un dispositif à taux majoré de 60 % (contre 30 % pour la mesure générique) sur 10 ans. Lors de l’examen de la loi Agriculture et Alimentation, les parlementaires avaient rejeté cette demande portée dans l’Hémicycle par un amendement du rapporteur Jean-Baptiste Moreau (LREM).