Edito
Pédagogie
L’an dernier, la flambée des prix des matières premières agricoles faisait la une des journaux ; aujourd’hui, l’effondrement de la plupart de ces prix laisse les citadins et leurs médias indifférents. C’est classique : ce sont les mauvaises nouvelles qui font l’information et une flambée des prix est, pour l’acheteur qu’est le citadin, une mauvaise nouvelle. Leur effritement ne fait de gros titres que dans la presse agricole, à peine une brève dans la presse générale.