Questions sanitaires : menace russe sur la viande américaine et canadienne
L’agence vétérinaire russe, Rosselkhodnazor, a annoncé le 22 janvier avoir « de nouveau exigé que lui soient présentées d’urgence des garanties sur le fait que le bœuf et le porc réfrigérés en provenance des Etats-Unis et du Canada et destinés aux consommateurs russes ne contiennent pas de ractopamine », un activateur de croissance (1).