Semences : la filière défend l’intérêt d’un plan protéines
« Quel avenir pour la protéine française ? », s’est demandé le Gnis (interprofession des semences) lors de sa Rencontre filière le 5 avril à Paris. Occasion de défendre l’intérêt d’un plan protéines.
« Oui à un plan protéines, nous en avons besoin », a martelé Thierry Momont, président de la section céréales à paille et protéagineux du Gnis, rappelant le « besoin d’inclure ces cultures (protéagineuses) dans la rotation pour accroître la productivité du blé ». Et de réclamer « une feuille de route lisible » : « On veut savoir où on va, comment. » Se pose aussi la question budgétaire.