« Toutes les agricultures ont leur place au bord des villes »
En périphérie des grandes villes, « il faut mélanger les productions pour les ventes directes et les circuits courts et celles destinées à l’industrie agroalimentaire sans les opposer », affirme Bernard Poirier, premier vice-président de Rennes-Métropole, coprésident de l’association Terres en villes qui défend l’agriculture périurbaine. « Aujourd’hui, dit-il, il y a une vraie opposition idéologique sur les modèles de production. Nous pensons à l’inverse que toutes les formes d’agriculture ont leur place au bord des villes ».