Trafics agroalimentaires : trois degrés de gravité des infractions
Le ministère de l’Intérieur distingue trois degrés de gravité des infractions dans le domaine des trafics agroalimentaires. Celui visant à réaliser ponctuellement des affaires par l’emploi d’antibiotiques interdits ou la commercialisation de produits périmés. Celui résultant « d’une véritable stratégie d’entreprise » (ajout de déchets alimentaires à des produits nobles pour augmenter les quantités, violation d’embargos alimentaires ou emploi d’additifs interdits).