Abattoir : la CFDT veut un meilleur confort de travail et plus d’inspection vétérinaire
Dans un communiqué du 3 octobre, la branche agroalimentaire de la CFDT (FGA-CFDT) estime que, dans le cas des abattoirs, « il ne faudrait pas que la solution proposée, [la vidéosurveillance, ndlr] contribue à accroître la situation de salariés qui effectuent un travail déjà très pénible ». Le syndicat évoque son refus de la vidéosurveillance notamment pour « les postes de travail des quais de déchargement, des zones de stabulation, de l’abattage et de l’accrochage », des postes avec déjà « beaucoup de stress et de pénibilité ».