Bien-être animal : Denormandie penche pour l’étiquetage volontaire
Informer le consommateur sur le bien-être animal présente « certains écueils » au stade de l’achat, a souligné Julien Denormandie le 22 octobre en clôture d’un colloque de La Fondation droit animal (LFDA). « Dans le marché commun, aujourd’hui, si vous importez un poulet, lui n’a pas d’étiquetage (sauf s’il est transformé) », a rappelé le ministre. Le risque, en voulant imposer la démarche, c’est de voir certaines productions françaises « étiquetées D ou E » mais « bien meilleures que les productions d’Amérique du Sud ou autres qui, elles, n’ont pas d’étiquette ».
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