Bio : le texte de la discorde
Voilà des mois que les États membres discutent de la révision de la législation sur l'agriculture biologique et au moment de conclure un accord, ce sont toujours les mêmes points, pourtant techniques, qui bloquent. La fréquence des contrôles (tous les deux ou trois ans pour les opérateurs à faibles risques) et la présence de substances non autorisées dans les produits bio concentrent les oppositions. Le moindre changement dans le compromis fait basculer la majorité d'un côté ou de l'autre.