Viande de cheval
La filière viande française réfute les « amalgames »
Un trafic de chevaux des industries pharmaceutiques à l'assiette des consommateurs dans le Sud de la France a été mis à jour le 15 décembre. Pour la filière, c'est la preuve de l'efficacité des contrôles.
«L'AFFAIRE révélée rappelle une nouvelle fois, si besoin était, qu'à toute chose, malheur est bon : d'abord parce qu'elle signifie que dans notre pays les fraudeurs ne peuvent pas frauder tranquille », selon un communiqué du Sniv-SNCP (entreprises françaises des viandes), le 17 décembre. La mise à jour d'un trafic de chevaux depuis les industries pharmaceutiques, dont Sanofi Pasteur, vers des abattoirs pour la production de viande chevaline, le 15 décembre, suscite de nombreuses réactions. Les animaux étaient achetés à bas prix à l'industrie pharmaceutique, dont Sanofi Pasteur.