Les prix pourraient pâtir d’une libéralisation des droits de plantation
Les prix des vignobles pourraient pâtir d’une libéralisation des droits de plantation des vignes, a analysé Michel Veyrier. La libéralisation des droits de plantation des vignes, décidée par la Commission européenne en 2008, mais contestée par une quinzaine d’États membres, dont la France et l’Allemagne, aurait des effets « très déstabilisants ». « Si on libéralise les plantations, on risque de remettre en cause un équilibre atteint au prix d’un énorme travail de restructuration du vignoble », a expliqué Michel Veyrier.