Une campagne de production qui exigeait de la vigilance
Cette année « a confirmé la supériorité des semis très précoces », a observé Jean-Paul Renoux, en charge du maïs chez Arvalis. Lorsque les sols étaient en bonnes conditions, avancer les semis à fin mars a permis d’esquiver efficacement des stress hydriques et des parasites. La vigilance devait par ailleurs être de mise en fin de cycle. « Les dernières irrigations se sont révélées très limitantes, a commenté le spécialiste. Un tour d’eau en moins coûtait 10 q/ha ». En ce qui concerne les parasites, la campagne s’est plutôt bien déroulée.