Nouvelles perspectives dans la lutte contre les ravageurs grâce à l’identification d’une paire d’enzymes

Les équipes d’Inrae ont travaillé sur le Colletotrichum orbiculare, un pathogène des fruits, des légumes et des céréales.
Kaserei/Pixabay
Une équipe de chercheurs, dont des équipes d’Inrae, a mis en évidence le rôle d’une paire d’enzymes dans la dangerosité des champignons ravageurs des cultures. De quoi rendre possible la mise au point de produits de nouvelle génération, alternatifs aux fongicides.
Et s’il était possible de mettre au point des produits phytosanitaires sélectifs capables d’éradiquer les champignons pathogènes des plantes, ravageurs des plantes, et d’épargner les champignons bénéfiques pour les plantes ? C’est la question qu’on peut se poser suite aux découvertes faites par une équipe de chercheurs de l’UMR Biodiversité et Biotechnologie Fongiques d’Inrae (Marseille), complétée par des experts du CNRS et du CEA, et des équipes japonaises, espagnoles et canadiennes.