Bien-être animal

Dans un communiqué du 6 août, le distributeur Aldi annonce son engagement dans le cahier des charges du European Chicken Commitment (ECC), visant à améliorer le bien-être des poulets de chair. « D’ici 2026, l’ensemble de nos…

Dans un communiqué le 10 juin, l’entreprise mainoligérienne Grimaud frères annonce qu’elle mettra à la disposition des éleveurs une solution de sexage in ovo des canards début 2021. Cette méthode baptisée Lunix est destinée aux…

Réagissant à la présentation, le 20 mai, de la stratégie « de la ferme à la table », l’ONG Welfarm « salue l’engagement de la Commission européenne », qui « laisse entrevoir la prochaine adoption de…

Les entreprises françaises sont en bonne place dans le classement 2019 du BBFAW (Business Benchmark on Farm Animal Welfare), publié le 2 avril. Depuis 2012, le BBFAW évalue la politique de bien-être animal de 150 entreprises…

Par un arrêté paru au JO le 27 février, le gouvernement a officialisé l’interdiction de la castration à vif des porcs d’ici la fin 2021. Les éleveurs devront anesthésier leurs animaux, un autre texte leur donnant accès aux produits…
Avec deux annonces en l’espace d’une semaine – dont une émanant de Carrefour –, l’arrivée dans les rayons des œufs issus du sexage in ovo se concrétise.

Les distributeurs Carrefour et Système U, ainsi que Galliance (Terrena), rejoignent la démarche « Étiquette bien-être animal » en poulets, annonce un communiqué le 6 février. À la manière du Nutri-Score, ce référentiel de…

La France lancera « cette année une expérimentation sur l’étiquetage » des modes d’élevage, a annoncé Didier Guillaume le 28 janvier. Cet étiquetage s’appuiera sur un avis que le Conseil national de l’alimentation (CNA)…

Après des mois d’attente, le ministre de l’Agriculture a présenté le 29 janvier quinze mesures pour améliorer le bien-être animal. Mesure phare : l’interdiction d’ici fin 2021 de la castration à vif des porcelets d’ici fin 2021 et du…
Jusqu'où les nouvelles attentes sociétales peuvent-elles se convertir en comportements d’achat ? Cette question qui divise était aux cœurs des débats lors d’une conférence de l’Ifip (Institut du porc), le 3 décembre à Paris.